Selon une récente étude, il semblerait que la vie des femmes soit ponctuée par 3 grandes périodes clés : de l’enfance à l’âge adulte. Chacune de ses étapes est rythmées par des pics d’anxiété dues à diverses problématiques d’ordre professionnelle, relationnelle ou relative à la santé. Découvrez les lesquelles.
De 21 à 34 ans, entre amitié et travail
C’est la période qui accompagne la fin de la vie « d’adulescent » (jeune adulte dont le comportement rappelle celui qu’ont généralement les adolescents) et qui ouvre sur la vie d’adulte et la vie active. Une partie de la vie qui est quasi exclusivement dédiée à soi, son travail, ses études, ses amitiés. Durant laquelle, on construit les fondations d’une vie professionnelle, ou c’est à ce moment-là de la vie que l’on comprend ce qui nous anime et ce que l’on a envie de faire pour s’épanouir.
Mais bien souvent, l’emploi du temps chargé et les ambitions (parfois immenses) nous entraînent tout droit vers des crises : celle des « 25 ans » ou du « quart de vie » : transition entre le vie étudiante et l’entrée (plus ou moins laborieuse dans la vie active) ou celle des 30 ans : bilan de vie
Crise des 25 ans :
Les doutes, angoisses face à la complexité du monde professionnel « le sentiment que l’on doit changer quelque chose dans sa vie pour mettre fin à une insatisfaction » ….
Crise des 30 ans :
Un bilan de vie et parfois un décalage entre ce qu’on imaginait et la réalité. Ce qui peut déclencher une remise en question, notamment suite à une rupture, séparation, chômage, changement …. Une souffrance psychique peut apparaitre selon l’intensité des ressentis de la personne qui le vit.
Quelles particularités chez la femme ?
Les femmes, très investies, ont du mal à être sur tous les fronts et à faire coïncider les grandes ambitions, leurs emplois du temps surchargés et leur désir de continuer d’avoir une vie sociale épanouie. On se remet beaucoup en question à cette période entre épanouissement personnel, parentalité….
On perd ses repères. Toutefois, beaucoup de femmes ont compris que la santé mentale était essentielle, et il n’y a rien de mal à prendre soin de soin. C’est une forme d’acceptation, de sagesse.
Quelles particularités chez l’homme ?
Pour les hommes, c’est différent. « La crise de la trentaine est une première ‘crise de la culture de la jeunesse’ qui se traduit par la peur d’entrer subitement dans un monde d’adultes avec des responsabilités ». « Ainsi, certains hommes peuvent avoir l’impression de ne pas avoir assez profité de leur jeunesse, et décident donc de rattraper le temps perdu. »
Crise de la trentaine en couple
Une crise de la trentaine ressentie par une ou deux personnes au sein d’un même couple. Elle a un impact dans le couple car elle amène à une remise en question de soi-même mais aussi de sa relation. « Ce qui peut causer la crise au sein du couple, c’est souvent le décalage entre ce que nous projetons de faire à l’avenir et la situation actuelle, ce qui amène à prendre des décisions pour s’accomplir tel qu’on l’envisage ». « Par exemple si l’un se projette dans la parentalité et dans la stabilité professionnelle tandis que l’autre envisage de voyager et remet à plus tard le désir d’enfant. »
Comment réagir en tant que parent de « trentenaire »?
Parents, vous pensiez en avoir fini avec les crises de votre ado depuis quelques années ? Sachez qu’avoir 25 ans ou 30 ans est parfois tout aussi compliqué. L’empathie, la bienveillance et soutien sont les meilleurs atouts pour surmonter cette période. Discuter, accompagner les projets, faire profiter de son expérience si solliciter…responsabiliser aussi, mettre des limites.
Comprendre que rester chez ses parents n’est pas toujours en choix entre crise du logement et précarité de l’emploi et parfois également le soutien envers ses parents (maladie, chômage…)
Reconnaitre les symptômes de ces crises
La crise 25 ans ou blues du quart de vie
- Instabilité émotionnelle et affective
- Sentiment d’insécurité, angoisse existentielle, découragement en cas d’échec
- Insomnie
- Stress liè à une situation économique
- Le deuil de sa vie d’enfant et d’adolescent, la plongée dans le monde adulte autonome avec ses obligations…
La crise de la trentaine
- Le repli sur soi, lorsque la tristesse ou la morosité sont au premier plan.
- Une forme plus théâtrale avec remise en question et prise de décisions, parfois excessives, comme par exemple plaquer son travail pour changer de pays et partir à l’inconnu sur un coup de tête ou rompre avant son mariage pour avoir le sentiment de rester libre.
Comment appréhender cette période ?
La durée d’une crise des « 25 ans » ou de la « trentaine » dépend de la prise en charge de ces périodes particulières.
Se préoccuper de son bien-être et travailler à comprendre ce qui crée la souffrance permettra d’avancer en pleine conscience et de restaurer un équilibre émotionnel qui fera sortir de la crise plus rapidement.
En effet, lorsqu’on est dans le déni et que l’on ne perçoit pas les signaux qui indiquent une souffrance ou une grande remise en question, on ne travaille pas à comprendre ce qui engendre le malaise.
Les émotions négatives peuvent devenir chronique et le trouble s’installe. C’est en verbalisant avec un proche ou si besoin un personnel de santé et en parallélle un accompagnement en médecine douce. Ce qui permettra de trouver un éclairage, une compréhension de ce que l’on traverse pour prendre les bonnes décisions et ne pas agir sur un coup de tête, d’avoir un projet de vie adéquate à ses valeurs.
De 45 à 54 ans, les années de l’amour
Une fois le cap passé le cap de la quarantaine.
Ce sont surtout les relations amoureuses qui prennent le pas sur toutes les autres préoccupations. Les histoires à l’eau de rose et les envies romantiques ne soient réservées qu’aux jeunes gens. En effet, selon une étude, c’est à partir de 45 ans que les femmes se soucient réellement de leur vie amoureuse. Pour 13% d’entre elles, c’est même leur priorité (contre 8% des jeunes femmes).
Cette période soit dédiée aux relations : normalement, la carrière est déjà construite, pour celles qui sont devenues mères, les enfants sont grands…Les seules choses qui restent, ce sont l’amour et les sentiments.
Après de 65 ans, on se soucie surtout de nôtre famille
Dès que l’on rentre dans des âges propices à la retraite, il semblerait que notre attention se détourne vers les générations plus jeunes. Les femmes se soucient du bonheur et de l’épanouissement de leurs enfants, de leur avenir, des petits-enfants s’il y en a. C’est sûrement parce qu’on estime qu’à 65 ans, on a fait une grande partie du chemin et que c’est aux plus jeunes de faire leur preuve ou de se construire une vie confortable. Pour 37% des femmes, le bien-être de leur famille est leur préoccupation principale arrivée à cet âge.
C’est aussi une période libérée de nombreux stress : celui de la performance, de la réussite… Finalement, est-ce que ce n’est pas à partir de 65 ans que l’on commence réellement à profiter de la vie ?
Faire de ces étapes des atouts
Comment apprivoiser son stress et faire de ces étapes, une belle introspection pour rebondir.
Il faut prendre ses distances par rapport aux avis contradictoires de l’entourage. En effet, celui peuvent projeter ses propres rêves, expériences qui ne sont pas en adéquations avec les nôtres.
Parfois, il faut faire un virage à 90°et changer de direction pour se rapprocher de la vrai version de soi-même au moment présent de la prise de décision : faire confiance à son instinct.
Les pépites d’HypnOrka :
La fleur de Bach
- La fleur de bach n°2, Tremble (Aspen en anglais), est dédiée aux personnes anxieuses, dont les peurs plus ou moins conscientes deviennent obsessionnelles sans pour autant qu’elles soient capables de les justifier. Elles préfèrent le plus souvent ne pas en parler à leurs proches par crainte d’être incomprises.
- La fleur de bach N°25 Marronnier Rouge (Red chesnut) pour les personnes qui s’inquiétent de manière excessive pour leurs proches jusqu’à se négliger elles-mêmes
- La fleur de Bach (sweet chesnut) redonner confiance après une dépression
La lithothérapie :
- L’améthyste, source de calme, de clarté et de relaxation, est une pierre de choix pour combattre le stress et réduire les sensations d’angoisses. En effet, ce cristal possède des vertus calmantes et apaisantes.
- L’hématite, calme intérieur et redonne espoir aux personnes qui souffrent de dépression
- Le lapis-lazuli permet de conserver un équilibre dans ses émotions. Il aide ainsi à surmonter les idées noires, la dépression ou un épuisement professionnel (burn-out).
- La calcédoine bleue pour lâcher-prise
Le soin énergétique permet de se libérer de blocages, de s’apaiser l’anxiété mais aussi de réduire la fatigue.
Les articles qui pourraient vous intéresser:
Comment choisir un thérapeute qui nous convient ?